services relevant du Ministère à toutes les échelles, dans l’administration scolaire dans les écoles, dans les syndicats enseignants, dans le milieu des parents d’élèves. Toute la question est de savoir comment avec les vieilles habitudes des acteurs encore en place réussir la mutation vers l’idéal ?
Il ne faut surtout pas penser et cela ne pourrait être que la dissolution de l’AEEM soit synonyme de bon débarras de la voix des élèves et étudiants dans le débat sur l’avenir et les conditions de l’éducation nationale. C’est surtout, je crois, l’occasion d’imaginer et faire éclore le nouvel ordre scolaire avec des élèves et étudiants plus conscients des enjeux de l’école et de sa finalité. L’occasion de rappeler les autres acteurs dans leur responsabilité que chacun avait déléguée dans l’impuissance de l’action responsable. Défendre l’école est une obligation pour chacun. Ne sommes-nous pas tous des parents d’enfants ?