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Pour l’engraissement, les larves d’insectes sont placées dans des caisses sur un substrat alimentaire et y restent. Les caisses sont empilées et placées dans des chambres climatiques.L’engraissement de larves d’insectes peut s’avérer rentable pour les éleveurs de porcs : pour un meilleur bien-être animal grâce à une source de protéines saine et régionale. En même temps, cela pourrait être un moyen de s’ouvrir à une nouvelle branche d’exploitation.L’Allemagne importe de grandes quantités d’aliments protéinés, surtout pour l’élevage porcin. Mais il existe une alternative durable : les larves d’insectes sont idéalement nourries avec des résidus, par exemple de la production alimentaire. Ces larves permettent de fabriquer un aliment protéiné d’avenir. Les éleveurs de porcs pourraient par exemple remplacer la farine de poisson et le soja importé par un aliment durable.Pour l’instant, il s’agit d’une vision, car les protéines d’insectes sont encore trop chères – comparées au soja importé – pour nourrir les porcs. Mais cela pourrait changer. La durabilité accrue est déjà un point positif. C’est également l’avis de la Rabobank. Selon elle, si des résidus locaux inutilisés sont utilisés comme substrats alimentaires pour les insectes, on ne s’attaque pas seulement au problème du gaspillage alimentaire, mais on crée également un système de production régional et on raccourcit la chaîne d’approvisionnement.Engraisser des insectes comme base pour l’alimentation des porcsRécemment, Better Insect Solution (une filiale de Big Dutchman) et FarmInsect ont présenté leur vision. À l’avenir, les flux de résidus devraient également provenir de producteurs de denrées alimentaires voisins. Actuellement, ils sont encore transformés en électricité ou en gaz. Ils recèlent donc un énorme potentiel pour l’élevage et l’engraissement d’insectes.L’objectif des entreprises est de mettre en place, en collaboration avec les agriculteurs, une économie circulaire régionale propre à chaque exploitation. L’agriculteur construit une installation d’engraissement d’insectes sur sa ferme et engraisse les jeunes larves livrées.Conseil aux éleveurs de porcs : des résidus pour nourrir les insectesL’alimentation doit provenir principalement de flux de résidus – tout ce qui est déclaré comme aliment pour animaux est autorisé. D’un point de vue juridique, les insectes sont des animaux d’élevage. C’est pourquoi les mêmes règles s’appliquent à l’alimentation des insectes. D’un point de vue biologique, les larves peuvent manger n’importe quoi. Même les aliments pourris ou chargés de mycotoxines. Mais il est par exemple interdit de nourrir les larves avec du lisier ou des déchets.Engraissement d’insectes : voilà pourquoi l’élevage d’insectes n’est pas intéressant pour les entreprises agricolesSi seul l’engraissement a lieu dans les fermes, c’est pour une bonne raison. On peut s’imaginer la mouche adulte comme une truie ; les petites larves sont les porcelets. Comme pour la truie et le porcelet, les exigences envers l’environnement d’élevage sont très différentes. C’est pourquoi il est difficile de reproduire l’élevage de la mouche dans une exploitation agricole.Les insectes ont une très bonne conversion alimentaireCes dernières années, le taux moyen de conversion alimentaire des larves s’est amélioré, passant de 2,5:1 à 1,2:1. Le taux de survie des larves est passé de 83 à 98 pour cent.Le poids final à l’engraissement a pu être augmenté de 20 pour cent et les coûts de production ont déjà baissé d’environ 10 pour cent.Utiliser judicieusement les anciens bâtiments agricoles pour l’engraissement d’insectesUne telle installation d’engraissement d’insectes convient très bien pour réutiliser judicieusement d’anciens bâtiments, si certaines conditions sont remplies, comme une hauteur de plafond d’au moins 4 mètres. Le bâtiment doit en outre être isolé thermiquement. Sinon, les installations d’engraissement d’insectes sont toujours construites de la même manière, c’est-à-dire de manière modulaire. Il faut une cuisine d’alimentation, la cellule robotisée et des chambres climatiques, dont le nombre peut varier.Tout bien considéré, les émissions de l’engraissement d’insectes sont, selon les spécialistes, nettement inférieures à celles de l’élevage classique d’animaux de rente. Il n’y a pratiquement pas de poussière ni de bruit, seulement une certaine quantité d’ammoniac. Une chambre climatique correspondrait donc à environ 45 places de porcs d’engraissement.Les larves engraissées servent directement à la ferme pour la nourriture des porcs ou des volailles (aliments de confort pour animaux, source de protéines), ou bien sont rachetées par le fournisseur de jeunes larves, traitées et commercialisées auprès de fabricants d’aliments pour animaux de compagnie par exemple.La mouche soldat noire : le superaliment pour les porcsSelon FarmInsect, le marché est là : les larves d’insectes de la mouche soldat noire sont déjà utilisées comme nourriture hypoallergénique dans le secteur des animaux de compagnie. Le profil en acides aminés des larves est en outre idéal pour l’alimentation des porcs, des volailles et même des poissons. Des études ont démontré les effets positifs sur le comportement des porcs – il y a moins de cannibalisme.La protéine d’insecte, ou plutôt l’acide laurique qu’elle contient, favorise également la santé intestinale, car elle possède des propriétés antimicrobiennes et combat les bactéries nocives dans l’intestin. Si un éleveur de porcs décide d’engraisser des larves pour le bien-être de ses animaux, il peut les donner vivantes à ses animaux sur place.

En Afrique subsaharienne, l’agriculture représente bien plus qu’un simple secteur économique ; elle constitue un pilier fondamental de la sécurité alimentaire, de la réduction de la pauvreté et du développement économique. Cependant, ce secteur vital fait face à un double défi structurel qui freine son essor et affecte directement la stabilité alimentaire, la compétitivité des produits locaux et la résilience des populations vulnérables.D’une part, le déficit de production agricole continue de s’aggraver, touchant aussi bien les cultures de base, comme les céréales, que celles à haute valeur ajoutée, telles que les fruits, les légumes, et les cultures de rente. Malgré son potentiel, l’Afrique subsaharienne enregistre des rendements agricoles parmi les plus bas au monde, notamment en raison d’une faible utilisation des technologies agricoles modernes, d’un accès limité aux engrais et d’une couverture irrégulière en infrastructures d’irrigation. Cette situation entraîne une productivité insuffisante, aggravée par la dépendance aux aléas climatiques, et pousse les populations locales à importer des denrées alimentaires à des coûts souvent élevés. En conséquence, les prix alimentaires ne cessent de croître, fragilisant les populations les plus vulnérables qui peinent à accéder à une alimentation abordable et nutritive.Le second déficit réside dans la faiblesse des chaînes de valeur agricoles, qui restent peu structurées et peu connectées aux marchés urbains en pleine expansion. Avec la croissance démographique rapide et l’urbanisation galopante, la demande alimentaire en zones urbaines augmente rapidement, mais la production locale peine à suivre, tant en termes de quantité que de qualité. La mise en place de chaînes de valeur optimisées permettrait de réduire la dépendance aux importations en favorisant la production domestique, tout en stimulant la compétitivité des produits locaux. Pourtant, les agriculteurs, majoritairement de petites exploitations, sont souvent isolés des marchés et manquent d’infrastructures adaptées, telles que les routes, les entrepôts, et les centres de distribution. Cette fragmentation limite leur capacité à accéder aux marchés urbains et à répondre aux exigences de qualité des consommateurs.Financement et infrastructures pour une agriculture résiliente

Pour surmonter ces deux déficits, plusieurs solutions peuvent être envisagées, en particulier dans le domaine du financement, des infrastructures et de la formation technique des agriculteurs.Accroître l’accès aux financements agricoles : L’une des barrières majeures pour les petits producteurs réside dans l’accès limité aux financements. Sans capital initial, les agriculteurs ne peuvent pas investir dans des intrants modernes ou dans des équipements qui amélioreraient leur rendement. Des programmes de microfinance ciblés, des fonds de garantie pour le secteur agricole et des partenariats public-privé pourraient jouer un rôle essentiel pour rendre les financements plus accessibles aux agriculteurs. En plus, le développement de plateformes de financement numérique et de services bancaires mobiles pourrait aider à toucher davantage de petits producteurs, y compris ceux qui vivent dans des zones rurales isolées.Investir dans les infrastructures d’irrigation et les chaînes logistiques : L’un des leviers les plus importants pour renforcer la résilience de l’agriculture subsaharienne est le développement d’infrastructures d’irrigation. Cela permettrait de limiter la dépendance aux saisons des pluies et d’améliorer les rendements des cultures. De plus, des investissements dans les infrastructures de transport et de stockage sont indispensables pour réduire les pertes post-récolte, qui représentent une part importante de la production totale perdue chaque année. Des réseaux de transport fiables, combinés à des centres de stockage modernes, permettraient d’optimiser la chaîne de valeur, tout en facilitant l’accès des agriculteurs aux marchés.Encourager la diversification des cultures et le passage à des cultures à haute valeur ajoutée : En sortant des modèles agricoles traditionnels basés principalement sur les céréales, l’Afrique subsaharienne pourrait stimuler sa productivité et sa compétitivité. Des programmes d’accompagnement technique et financier devraient encourager les agriculteurs à se tourner vers des cultures plus rentables, comme les fruits, les légumes, et les produits d’élevage. La diversification des cultures pourrait non seulement augmenter les revenus des exploitants, mais aussi offrir des options alimentaires plus variées et nutritives pour les populations locales.Renforcer la formation et l’éducation technique pour une agriculture durable : Enfin, le renforcement des compétences agricoles par la formation est essentiel pour que les agriculteurs adoptent des pratiques agricoles modernes et durables. Des programmes de formation, dispensés par des experts ou des organisations locales, pourraient enseigner aux agriculteurs les techniques de conservation des sols, l’usage optimal des engrais et de l’irrigation, ainsi que la gestion des ressources naturelles. Cela les aiderait non seulement à augmenter leur production mais aussi à minimiser leur impact environnemental.Construire un avenir durable pour les populations vulnérables en Afrique subsaharienneLes défis posés par les déficits de production et de chaînes de valeur ne sont pas insurmontables. Avec une volonté politique forte, des investissements stratégiques et un soutien accru aux petits producteurs, l’Afrique subsaharienne pourrait transformer son secteur agricole en un moteur de développement, capable de nourrir ses populations tout en stimulant son économie. En améliorant l’accès au financement, en investissant dans les infrastructures, et en soutenant les petits exploitants à chaque étape de la chaîne de valeur, il est possible de créer une agriculture résiliente et compétitive, au bénéfice des populations vulnérables.

La France serait le pays où l’on mange le mieux ! Cette rumeur se confirme à nouveau aujourd’hui puisque deux restaurants français arrivent en tête du classement des meilleures tables au monde, établi par « La Liste ». Découvrez lesquels !

Quels sont les meilleurs restaurants du monde ? En cette fin d’année, les classements des meilleures tables se succèdent, afin d’aiguiller les fans de gastronomie. Il y a quelques jours, le guide du Fooding a en effet dévoilé le nom de l’établissement parisien où déguster la meilleure pizza en 2025. Ce fut ensuite autour du prestigieux classement établi par le Gault&Millau d’être dévoilé, puis celui réalisé par le « 50 Best ». Aujourd’hui, c’est « La Liste », le célèbre guide culinaire de voyage le plus sélectif et le plus mondial, qui publie sa hiérarchisation des meilleurs établissements. Le guide digital vient en effet de publier sa liste des 1000 meilleurs restaurants au monde, lui qui recense plus de 30.000 adresses. Sans grande surprise, deux restaurants français se trouvent dans ce classement.Un classement de prestigeLes fins connaisseurs en gastronomie l’attendaient… Le 25 novembre dernier, l’emblématique guide digital « La Liste », a dévoilé son classement des 1000 meilleurs restaurants du monde entier. Pour établir ce classement utile et prestigieux, le guide français, fondé en 2015, sous l’impulsion du Quai d’Orsay, s’est basé sur des publications de presse, des avis de consommateurs, mais aussi des guides gastronomiques de renom. Pour lister les restaurants, les évaluations attribuées aux meilleurs restaurants ou hôtels par plus de 1 000 guides, publications et sites participatifs sont compilés dans une base de données.Chaque évaluation est ensuite convertie en une note sur 100 harmonisée, selon une table de conversion propre à chaque guide. À noter que la fiabilité des guides et sources utilisés est évaluée par un sondage en ligne auprès de milliers de chefs, au terme duquel chaque guide est affecté d’un « coefficient de fiabilité » compris entre 0 et 10. Enfin, pour chaque restaurant et hôtel, la moyenne des évaluations obtenues dans les différents guides est calculée.Deux restaurants français parmi les meilleurs au mondeEn tête de liste 2025, deux restaurants français qui ont conquis le cœur et le palais, des guides internationaux. Il s’agit du restaurant La Vague d’or d’Arnaud Donckele à Cheval Blanc Saint-Tropez qui obtient la jolie note de 99,5 sur 100. Le chef de 47 ans, natif de Rouen, réussi d’ailleurs l’exploit d’occuper les deux premières marches du podium avec deux établissements différents puisque son autre établissement baptisé « La Plénitude », situé à Paris, décroche la seconde place avec une note de 99 sur 100. Également sur la première marche du podium avec une note de 99,5 sur 100, le restaurant Guy Savoy, du chef du même nom, situé à Paris. À noter que ce dernier apparaît dans le top du classement pour la huitième année consécutive. Guy Savoy peut d’ailleurs aussi se vanter d’obtenir le titre de « Chef de l’année » par La Liste. Une belle revanche pour celui qui a récemment perdu sa troisième étoile du Guide Michelin.

Les frasques d’Ominga à Monte-CarloAyant mes habitudes à l’hôtel L’Hermitage de Monaco, (il m’arrive aussi d’aller jouer au Casi no) je m’y suis rendu ce lundi 2 décembre 2024. Un rendez d’affaire m’y avait conduit. Je bosse à la Fondation Commandant Cousteau où je m’occupe d’observer les fonds marins au large de la Principauté.A la réception de L’Hermitage, j’ai eu comme le mal de mer. En fait j’ai eu une petite idée des causes du naufrage du Congo, petit Emirat d’Afrique Centrale. Mon Dieu tout ce flambage !En effet, vers 11 heures, pendant que j’attends mon rendez-vous car je suis un peu en avance, dans le hall du palace je tombe nez à nez nez avec une faune africaine : ce qui, soit dit en passant, n’est pas exceptionnel même en basse saison à Monaco.Quinze bonhommes, tous des Africains, inondent le bar de l’hôtel. Mon regard est attiré par les drapeaux affichés à la réception. Ceux-ci indiquent en général la nationalité des clients descendus à l’hôte !. Je note qu’il y a un drapeau de la RDC. J’en déduis que ce sont des Congolais de Tshisékédi Wa Mulomba venus je ne sais pour quel symposium.Souvent, par méconnaissance, les hôtels confondent les drapeaux des 2 Congos. Ils affichent l’emblème de la RDC alors qu’il s’agit parfois de clients du Congo-Brazzaville.Mes oreilles sont attirées par l’accent « lingala de Ouenzé » des locuteurs. « Ce sont des Congolais du pays de Sassou », me dis-je. Car moi-même, de nationalité gabonaise, je réside entre la Principauté et la ville côtière de Pointe-Noire au Congo. J’entends le vili et le lingala bien que je suis Batéké de Franceville et Miéné de Port-Gentil.MafieuxNombre de congolais au profil de flibustiers ne loupent aucune occasion de venir se la couler douce dans les palaces de la Méditerranée, notamment à Monaco, paradis fiscal très sûr, prisé des la délinquants épinglés dans le scandale des Panamas Papers. Des congolais du clan Sassou se classent en bonne place parmi les grand prêtres de l’évasion fiscale et des comptes offshore recensés dans l’escroquerie mafieuse.AccentQu’entends-je pendant que, sirotant mon cocktail, je nage dans un océan de réflexions sur la richesse du monde ? un accent mbochi. Qui vois-je au fond du luxueux hall ? Un Congolais de Brazzaville, le PDG du pétrole, le camarade Ominga Maixent Raoult en personne. Je le reconnais pour avoir lu les frasques de ce natif d’Oyo dans la registre de l’ethnocentrisme au Congo de Sassou. Quand Kiki le pétrolier plongea la SNPC dans la gabegie, c’est le Mbochi Ominga qui reprit la barre du…destroyer.Ce lundi 2 décembre 2024, le Directeur de la SNPC, ce filou du trading, à la tète d’une petite délégation de 14 membres ne s’est privé de rien. Ominga Maixent Raoult et ses acolytes sont venus nager dans les eaux profondes de la dolce vita à l’hôtel L’Hermitage de Monaco. 450 euros la chambre selon la pub.Long séjour« Ils vont séjourner 3 jours, du lundi 2 décembre au mercredi 4 décembre » me renseigne-t-on, le temps d’une java, aux frais bien sûr du Trésor Congolais. Toujours l’alibi des colloques et autres symposiums pour cacher l’insatiable frénésie des délégations congolaises à travers le monde. A raison de 2000 euros, la chambre selon une confidence, ces pêcheurs en eau trouble du lé dza, lé noua, lé yiba, n’ont pas lésiné sur les moyens,Chambre 18Ominga a occupé une chambre avec un petit salon : coût de la nuitée 3.000 euros. Les grévistes congolais, privés de salaires depuis des lustres vont apprécier.Comme on est en basse saison, la petite suite occupée chacun par les compères d’Ominga le pétrolier a couté la bagatelle de 2,000 euros. Des clopinettes pour ces requins.Parmi les heureux clients de l’Hermitage en cette période précédant Noel figurent : Ngassaki, Ibata, Itoua, Oniangué, Poaty Koukou..,A part Poaty, la délégation est « à 100% mbochi » . Je vois cette faune en train de discuter avec des asiatiques.Parmi la clientèle en dentelles : Oniangué Itoua Tatiana. C’est la seule dame de la délégation. La congolaise a attiré mon attention,Tatiana a la particularité d’adorer le folklore. Elle n’a pas arrêté de parler lingala au téléphone. Visiblement elle prenait des nouvelles sur la situation salariale au pays.Une fois la conversation terminée, Tatiana Oniangué s’est mise à écouter une chanson du folklore mbochi au salon de l’hôtel. La chanson semblait vanter les prouesses d’un certain Ayessa Firmin.A côté de la chambre 18 d’Ominga Maixent Raoult, avec vue imprenable sur la Méditerranée, se situe celle de Hugues Ibata Ngassaki. Cette grosse baleine est en train de se goinfrer dans sa chambre avec les restes du repas de la veille : du riz et des frites. « Il aurait pu prendre son petit déjeuner au lieu de manger ce qui a dormi » ironise Ominga en rigolant.Ominga Mainxent Raoult est bien habillé. Il porte un ensemble bleu marine assorti avec la couleur turquoise de la mer. Il aurait semble-t-il remis au nettoyage une veste, taillée sur mesure, sur le fond de laquelle est brodé son nom. Coût du repassage de la chemise : 10 euros. Des clopinettes pour ce milliardaire congolais.Rodolphe AdadaL’ambassadeur Rodolphe Adada est aussi un habitué des lieux. Je l’y ai souvent vu.J’y ai moi aussi mes habitudes. Le charme belle époque de l’architecture m’attire.Des gros poissons congolais, j’en vois défiler à longueur de l’année. Des champions de la formule 1 du gaspillage.Que sont venus pêcher ces pétroliers sur le Rocher ?Edition monégasque du quotidien Nice Matin est muette sur cette remarquable présence africaine dans ville du Prince Albert.Un colloque ? Un mini-sommet sur le pétrole ou on ne sait quelle autre échappatoire ? Que je sache, Monaco est plutôt spécialisé dans l’industrie hôtelière, dans la Finance que dans l’or noir.Sont-ils venus convoyer du cash pour le régime de Sassou ou préparer le terrain pour des ultimes malversations ? Après tout le temps leur est compté.CathédraleQuelle destination va prendre la délégation après Monte-Carlo ? Paris où la petite bande de piranhas ira rejoindre la grosse délégation de Sassou attendue pour l’inauguration de la Cathédrale Notre-Dame de Paris ?Le voyageur infatigable y sera en effet. On se souvient, il y a cinq ans, après l’incendie de la Cathédrale, Sassou contribua financièrement aux travaux de restauration du saint bâtiment tandis que, désormais, l’incendie social dans son propre pays a fini de tout consumer.

Découvrez comment Samsung révolutionne votre expérience utilisateur avec ses nouvelles fonctionnalités de notification et de paramètres rapides. Grâce à une interface repensée, les utilisateurs peuvent désormais gérer leurs notifications de manière plus intuitive. Plongez dans les détails de cette mise à jour majeure qui transforme votre appareil en un outil plus efficace.

Séparation des Notifications et des Paramètres Rapides dans One UI 7Dans sa mise à jour One UI 7, Samsung a décidé de scinder le panneau de notifications et celui des paramètres rapides, une décision qui suscite des opinions divergentes. Cette séparation pourrait déplaire à de nombreux utilisateurs, mais il convient de reconnaître que Samsung a rendu ce changement fonctionnel et intuitive.Il y a quelques années, Android permettait déjà une séparation entre les notifications et les paramètres rapides. Les utilisateurs pouvaient faire un glissement vers le bas avec un doigt pour accéder aux notifications, ou utiliser deux doigts pour faire apparaître les paramètres rapides. Un bouton dans la barre des notifications permettait également d’accéder rapidement aux paramètres. Toutefois, avec l’arrivée d’Android Marshmallow (6.0), Google modifia cette fonctionnalité; un second glissement vers le bas ouvrait les paramètres rapides. Cela a facilité l’accès à ce panneau, sans nécessiter deux doigts.Ce modèle est resté en place pendant plusieurs années, mais une tendance émerge à nouveau vers une configuration à deux panneaux.Avec l’update d’Android 15, One UI 7 fait le choix d’un panneau de notifications distinct, sans accès direct aux paramètres rapides. Ce changement iconique peut déstabiliser certaines habitudes, mais a été mis en œuvre de manière satisfaisante par Samsung.Les Avantages de la Nouvelle InterfaceDeux éléments majeurs font que cette mise en œuvre est favorable. Tout d’abord, le comportement des notifications reste similaire. Vous pouvez toujours balayer à gauche ou à droite pour les supprimer, et un espace vide vous permettra également d’accéder aux paramètres rapides en glissant depuis le côté droit de l’écran.Ensuite, les gestes à l’écran s’avèrent logiques. Bien qu’il ne soit plus possible de glisser avec deux doigts pour accéder directement aux paramètres rapides, vous pouvez glisser depuis le côté gauche de l’écran pour ouvrir les notifications ou depuis le côté droit pour accéder aux paramètres rapides. L’espace d’interaction est assez généreux, les notifications occupant environ 75 % de la zone de glissement, tandis que les paramètres rapides n’occupent que les 25 % restants. Étant donné que les utilisateurs accèdent bien plus souvent aux notifications, cette modification s’avère bienvenue de la part de Samsung. Après quelques heures d’utilisation, il est clair que cette version est plus agréable que la séparation 50/50 typique adoptée par d’autres marques comme Oppo ou OnePlus.Il est vrai que de nombreux utilisateurs pourraient ne pas apprécier ce changement immédiatement; néanmoins, beaucoup d’entre eux finiront par s’y habituer et l’adopter.Il est à noter que cette option de fonctionnement est entièrement personnalisable.Bien que le comportement séparé soit celui par défaut, vous avez la possibilité de le modifier. En vous rendant dans les paramètres rapides, puis en choisissant Éditer > Paramètres du panneau, vous pourrez sélectionner entre les options « séparées » ou « ensemble ».Que pensez-vous de cette séparation entre les notifications et les paramètres rapides dans la mise à jour One UI 7 de Samsung?Pour en savoir plus, visitez : AndroidQu’est-ce que la nouvelle fonctionnalité de séparation des notifications et des paramètres rapides dans One UI 7?La nouvelle fonction sépare le tiroir de notifications du panneau des paramètres rapides, permettant un accès indépendant à chacun. Les utilisateurs peuvent accéder aux notifications d’un côté et aux paramètres rapides de l’autre, ce qui change la manière dont ils interagissent avec leur téléphone.Les gestes de navigation ont-ils changé avec One UI 7?Oui, avec One UI 7, vous ne pouvez plus accéder aux paramètres rapides en faisant glisser deux doigts. À la place, vous pouvez glisser vers la gauche pour ouvrir les notifications ou vers la droite pour accéder aux paramètres rapides, rendant l’interface plus intuitive avec un espace de glissement qui priorise l’accès aux notifications.Les utilisateurs peuvent-ils personnaliser la disposition des notifications et des paramètres rapides?Oui, les utilisateurs peuvent choisir entre les options « séparé » ou « ensemble ». En allant dans les paramètres rapides et en éditant les paramètres du panneau, ils peuvent facilement ajuster la façon dont ils préfèrent visualiser les notifications et les paramètres rapides.Cette séparation des notifications est-elle bien accueillie par les utilisateurs de Samsung?Bien que cette distinction puisse frustrer certains utilisateurs au début, beaucoup finiront par apprécier cette approche. De plus, la possibilité de revenir à l’ancienne méthode est un atout, car cela permet aux utilisateurs de choisir selon leurs préférences.Bonjour, je m’appelle Arthur et j’ai 37 ans. Cadre supérieur dans l’administration, je suis passionné par la gestion et l’organisation. Bienvenue sur mon site web où je partage mon expérience et mes conseils en matière de leadership et de management.

Marre du harcèlement téléphonique ? Découvrez les 4 mots puissants qui feront fuir les démarcheurs en un instant et vous garantiront enfin la tranquillité. »Bonjour, êtes-vous intéressé par une formation financée par votre CPF ? » : ces appels non sollicités, souvent intrusifs, perturbent notre quotidien tout au long de l’année, et il semble que rien ne puisse les arrêter. Pourtant, il existe une solution simple et réellement efficace pour y mettre fin une bonne fois pour toutes : l’utilisation d’un mot-clé précis, ou plutôt de quatre mots…Démarchages téléphoniques : comment les éviter ?Pour de nombreux Français, la méthode la plus simple et la plus efficace pour éviter le démarchage téléphonique consiste à ne pas répondre aux appels suspects. Cette stratégie devient encore plus pertinente avec l’identification des appels grâce à des préfixes spécifiques. Vous pouvez aussi « prétendre » que le nom mentionné ne vous appartient pas ou insister pour parler à un supérieur.Il est également conseillé de bloquer les numéros douteux et d’activer la fonction « anti-démarchage » sur certains smartphones. De plus, des applications gratuites sont disponibles pour filtrer et bloquer automatiquement les appels indésirables.Contre le démarchage téléphonique, les 3 mots à prononcerVous êtes dérangé par un appel de démarchage téléphonique et souhaitez y mettre fin rapidement ? Il suffit de faire savoir poliment à votre interlocuteur que vous êtes en train de réaliser une tâche nécessitant toute votre attention et de lui demander de patienter un instant. Ainsi, au lieu de couper brutalement l’appel, vous pouvez continuer vos activités tout en demandant un peu de répit. Cette approche vous permet de gagner du temps, tout en dissuadant le démarcheur, vous offrant une sortie élégante sans avoir à subir les interruptions du démarchage téléphonique.Un autre « mot magique », ou plutôt quatre, à prononcer pour être définitivement tranquille face au démarchage téléphonique ? Faire savoir votre « opposition au démarchage téléphonique ». Cela empêchera l’interlocuteur de vous rappeler ! En France, depuis juin 2016, il est possible pour les consommateurs de s’inscrire gratuitement sur la liste d’opposition au démarchage téléphonique, appelée Bloctel. Une fois inscrit, les entreprises sont légalement interdites de vous contacter à des fins commerciales, sous peine de sanctions financières. Cette mesure concerne aussi bien les entreprises françaises que les entreprises étrangères opérant en France. En utilisant cette méthode et en s’inscrivant sur la liste Bloctel, les consommateurs peuvent ainsi se protéger efficacement contre les appels non sollicités.Démarchage téléphonique : quels recours en cas d’abus ?Si malgré toutes ces techniques, vous continuez à subir du démarchage téléphonique, voici ce que vous pouvez faire :Bloquer le numéro en questionS’inscrire sur BloctelSignaler l’abus sur la plateforme SignalConsoPorter plainte : l’article L.242-16 du Code de la consommation prévoit près de 75 000 euros d’amende pour les démarcheurs qui sur-sollicitent.Depuis mars 2023, le démarchage téléphonique est davantage encadré par une nouvelle loi en France : mais hélas, cette nouvelle législation n’empêche pas les abus. Restez donc vigilant à tout moment !

Au Ghana, une énorme coup de pouce à la connectivité entre les deux zones métropolitaines de la région du Grand Accra et les frontières Est et Ouest du pays avec la mise en service de la deuxième phase de l’échangeur autoroutier de Tema.Le troisième échangeur que le président Akufo-Addo a mis en service en seulement deux semaines. Le 19 novembre, les Ghanéens ont célébré l’ouverture de l’échangeur Flowerpot, suivi de près, le 29 novembre, par l’échangeur Obetsebi Lamptey.Selon lui, l’achèvement et l’inauguration d’un autre échangeur historique, l’échangeur autoroutier de Tema, aujourd’hui, représente « un autre symbole du progrès de notre nation et un héritage durable de l’engagement du gouvernement Akufo-Addo à améliorer la vie des Ghanéens ». Achevée dans les délais, la deuxième phase du projet d’échangeur autoroutier de Tema, construite par JFE Engineering Corporation et supervisée par CTI Engineering International Company Limited, permettra au port de Tema de dédouaner plus rapidement les marchandises, de mettre fin aux embouteillages sur cette importante intersection et d’améliorer l’intégration commerciale et la croissance économique dans la sous-région de la Cédéao.Dans tout le pays, il est devenu de plus en plus évident que des investissements importants dans les infrastructures routières et les réseaux de transport ont catalysé le développement et, par effet d’entraînement, stimulé la croissance économique.Le président Akufo-Addo, dans son discours, a déclaré que ce projet témoigne du pouvoir de la vision, de la détermination et de la collaboration et représente le dévouement inébranlable du pays à relever les défis de longue date de la mobilité, de la croissance économique et de l’intégration régionale.Rappelant le chemin parcouru jusqu’à présent, le président a déclaré que la mission du gouvernement était d’atténuer la congestion persistante du trafic qui afflige ce corridor critique depuis des années. « En juin 2020, lors de la mise en service des phases 1 et 2, j’avais promis au peuple ghanéen que la phase II suivrait rapidement, renforçant les avantages de la première phase. Aujourd’hui, je suis fier de dire que cette promesse a été tenue. »Il a déclaré que le projet construit par JFE Engineering Corporation, au-delà de ses avantages immédiats, souligne la position du Ghana en tant que plaque tournante du commerce régional et complète l’expansion du corridor Tema-Akosombo de 64 km, une artère économique vitale reliant les principaux centres commerciaux et industriels.« Ensemble, ces investissements créent un réseau homogène qui soutient les moyens de subsistance, encourage l’innovation et accélère le développement », a-t-il ajouté.

Selon le président Akufo-Addo, l’achèvement de la phase II de l’échangeur autoroutier de Tema est non seulement un moment déterminant dans l’histoire des infrastructures du Ghana, mais « devrait améliorer la circulation vers et depuis le plus grand port maritime de notre pays, le port de Tema, et réduire les retards, éliminer les embouteillages, accélérer la circulation des marchandises, améliorer la facilitation des échanges et stimuler l’activité économique, non seulement au Ghana, mais dans toute lanrégion de la Cédéao ». Il s’est réjoui de constater que ce projet remarquable est également une nouvelle démonstration de la force des partenariats internationaux, le financement du projet étant facilité par l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), la plus importante subvention de ce type accordée au Ghana, reflétant ainsi leblien fort d’amitié et de respect mutuel entre le Ghana et le Japon.Selon le rapport distribué par l’APO Group au nom de la présidence de la République du Ghana, la deuxième phase du projet qui s’étend de la station-service Total de Tema Community 9 vers le marché du bois sur la route Tema-Akosombo, introduit le survol de troisième niveau dans la direction sud-nord, enjambant le port de Tema jusqu’à Akosombo et offrant ainsi un itinéraire dédié à la circulation complète.Le ministre des routes et des autoroutes, Francis Asenso Boakye, Hon., a déclaré qu’il avait demandé à l’Autorité nationale des routes de mettre en place un système de maintenance robuste pour assurer la préservation de cet atout et a exhorté toutes les parties prenantes, y compris les autorités locales et les automobilistes, à contribuer activement à la sauvegarde de cet atout national vital

Le visa Schengen, un permis de séjour temporaire permettant de circuler librement dans les 27 pays membres de l’espace Schengen, est un document prisé par de nombreux voyageurs. Pour ceux qui souhaitent partir en vacances, pour affaires, ou rendre visite à leurs proches, obtenir un visa Schengen peut paraître complexe.La difficulté d’obtenir ce visa varie considérablement d’un pays à l’autre. Alors que certains pays semblent imposer des critères stricts et des délais de traitement longs, d’autres sont réputés pour la simplicité et la rapidité de leur procédure. Mais comment savoir où est le plus facile de l’obtenir ? Quelles sont les options les plus intéressantes pour les voyageurs souhaitant maximiser leurs chances d’obtenir un visa Schengen dans les meilleures conditions ?Selon les chiffres officiels des taux d’acceptation et de refus de visa, l’on dégage le Top 10 des pays Schengen qui délivrent le visa le plus facilement, en tenant compte de facteurs comme la rapidité de traitement, la flexibilité des critères et la clarté des exigences administratives.L’Allemagne : Un processus rapide et des critères souplesL’Allemagne est l’un des pays les plus populaires pour obtenir un visa Schengen. En raison de sa stabilité économique et de son rôle central dans l’Union européenne, elle reste une destination privilégiée pour les voyageurs. Le pays propose un traitement relativement rapide des demandes de visa, souvent dans les 10 à 15 jours. De plus, l’Allemagne est souvent perçue comme un pays moins strict en matière de critères financiers, ce qui facilite l’acceptation des dossiers. Si vous avez des documents clairs et bien organisés, vous avez de bonnes chances de recevoir une réponse positive.

La France : Un pays de choix pour les demandeurs de visaLa France est une destination phare pour les touristes et les voyageurs d’affaires. Son rôle majeur dans l’Union européenne et son attractivité touristique en font un pays qui traite un grand nombre de demandes de visa Schengen chaque année. Bien que la France ait des exigences strictes, elle reste un des pays où les visas sont relativement faciles à obtenir pour les demandeurs bien préparés. Les consulaires français sont réputés pour être transparents dans la gestion des demandes, et le délai de traitement est généralement d’environ 15 jours.L’Italie : Un visa Schengen accessible aux voyageurs bien préparésL’Italie, destination touristique par excellence, est également un pays favorable pour l’obtention d’un visa Schengen. Le processus est bien organisé et les autorités consulaires offrent des services relativement rapides, surtout si vous postulez bien à l’avance. L’Italie accorde une grande importance aux documents relatifs à l’hébergement et à l’itinéraire, ainsi qu’à la solvabilité des demandeurs.L’Espagne : Un visa Schengen facile pour les visiteurs réguliersL’Espagne est une autre destination populaire qui facilite l’obtention d’un visa Schengen. Grâce à un processus bien défini, les autorités espagnoles acceptent généralement les demandes de visa des voyageurs qui peuvent prouver qu’ils ont des liens solides avec leur pays d’origine. Le processus peut être encore plus simple si vous avez déjà voyagé dans d’autres pays Schengen sans incidents. La durée de traitement des demandes est généralement de 10 à 15 jours.La Grèce : Des délais raisonnables et des critères accessiblesLa Grèce est une destination qui attire de nombreux voyageurs en raison de ses îles paradisiaques et de son patrimoine historique. Le visa Schengen délivré par la Grèce est généralement assez facile à obtenir si vous respectez les exigences. Les critères financiers sont moins stricts que dans d’autres pays, ce qui peut faciliter l’obtention du visa, en particulier pour les voyageurs ayant des revenus modestes mais stables. Les autorités grecques sont généralement réactives et la procédure est rapide.Les Pays-Bas : Simplicité administrative et délais judiciairesLes Pays-Bas offrent un processus de demande de visa Schengen relativement simple et rapide. Les délais de traitement sont courts, souvent moins de 10 jours ouvrés. Les autorités néerlandaises sont connues pour leur professionnalisme et leur réactivité, et leur approche pragmatique facilitant l’obtention du visa pour les voyageurs qui soumettent des dossiers complets et précis. De plus, les exigences financières sont moins rigides, ce qui permet à de nombreux voyageurs de répondre favorablement aux conditions de visa.

La Belgique : Un visa rapide pour les visiteurs réguliersLa Belgique est un autre pays de l’espace Schengen qui facilite l’obtention d’un visa, notamment si vous avez déjà voyagé dans l’espace Schengen ou si vous avez un dossier financier solide. Les autorités belges exigent des preuves claires d’hébergement et de moyens financiers, mais une fois que vous avez fourni tous les documents nécessaires, les chances de voir votre demande certifiée sont élevées.La Finlande : Un processus rapide pour les demandes bien préparéesLa Finlande est un autre pays Schengen réputé pour la rapidité de son processus de délivrance de visas. En raison de sa faible demande comparée à d’autres pays plus populaires, les autorités finlandaises traitent généralement les demandes de visa rapidement et avec efficacité. La Finlande n’a pas de critères excessivement stricts, et si vous fournissez un dossier complet, vous avez de bonnes chances d’obtenir une réponse favorable.La Suède : Un visa Schengen simple mais coûteux La Suède est un autre pays où l’obtention d’un visa Schengen est relativement facile, notamment grâce à une procédure simplifiée et des délais de traitement raisonnables. Bien que les critères financiers puissent être plus stricts que dans d’autres pays, les autorités suédoises sont connues pour leur transparence et leur efficacité.

Zapping Deux Roues Auto Moto Schuberth C5 : présentation du casque modulable de référenceOn connaît tous ces histoires de chats qui disparaissent des années, avant de réapparaître comme si de rien n’était dans la maison de leurs propriétaires. Eh bien là, c’est un peu pareil… mais avec une moto ! Une Peugeot 107 sport 350 cm³ de 1929, volée à son propriétaire en 2000… et retrouvée 24 ans plus tard !L’histoire nous vient d’un homme, Jean-Claude, de Grenoble. Garagiste de métier, il hérite d’un oncle à la fin des années 90 et se retrouve avec cette Peugeot 107 sport 350 cm³ de 1929. Une machine réquisitionnée durant la guerre, un souvenir de famille.Cette dernière a toutefois besoin d’un bon rafraîchissement. Au bout de trois années de dur labeur, avec son père et un oncle, elle est « remise en état », comme Jean-Claude le raconte au Parisien et au Dauphiné Libéré. Le travail est si bien fait qu’elle doit même être exposée en 2000 au salon de l’auto avec Peugeot…La Peugeot disparaîtSauf que, patatras ! La machine disparaît le 18 octobre de cette année-là. Elle est volée dans la nuit. Malgré les efforts de Jean-Claude, qui colle des affiches ou contacte des clubs, rien n’y fait. La moto semble partie pour toujours. Un « choc » pour son propriétaire. « C’était plus qu’une moto, c’était aussi le témoin d’une belle histoire de famille. »Les années passent et si Jean-Claude perd espoir, son fils, Tim, 11 ans au moment du vol, ne lâche rien. « Je me suis inscrit sur plusieurs forums de vieilles motos et sur tous les sites de revente pour être alerté dès qu’une nouvelle moto serait mise en vente », raconte-t-il. Et ses efforts finissent par payer.Retour à la maison, 24 ans plus tardIl retrouve effectivement sa machine sur Leboncoin, à vendre en Côte-d’Or, à 400 km de chez eux. La famille prend contact avec le vendeur, qui assure avoir lui-même hérité de la machine, sans être au courant du vol. La gendarmerie, avertie et étonnée, les suit et aide aux retrouvailles.Finalement, le père et le fils parviennent à récupérer la machine gratuitement. Ceci grâce à un document datant de la Seconde guerre mondiale, montrant que cette machine était réquisitionnée. Une moto pas comme les autres, désormais bien protégée dans le garage familial mais qui restera visible aux visiteurs.Rejoignez Auto-Moto sur WhatsApp pour ne rien manquer de l’actualité auto et 2-roues !Podcasts à la uneMEN LIFEInscrivez-vous à la newsletter Deux Roues Auto MotoPour résumerSe faire voler une moto, ça arrive. Mais quand il s’agit d’une antique machine de 1929, héritage et pièce de collection d’une famille, cela n’incite pas à arrêter les recherches au bout de quelques mois. Une attitude portant ses fruits, pour cette famille qui a retrouvé sa machine volée après 24 ans d’attente.

WhatsApp, va bientôt procéder à un grand nettoyage de sa base d’appareils compatibles. À partir du 1er janvier 2025, près de 30 modèles de smartphones, parmi lesquels des smartphones d’Apple, Samsung, Huawei et d’autres grands constructeurs, ne pourront plus utiliser l’application.Cette décision s’explique par la nécessité pour WhatsApp d’optimiser constamment ses services et de garantir une expérience utilisateur fluide et sécurisée. Les anciens modèles de smartphones, souvent équipés de systèmes d’exploitation obsolètes et de capacités matérielles limitées, ne sont plus en mesure de supporter les dernières mises à jour de l’application.WhatsApp fait le grand ménage : 30 modèles de smartphones rayés de la liste de compatibilité dès 2025

Pourquoi WhatsApp supprime certains modèles ?Sécurité: Les anciens systèmes d’exploitation présentent des failles de sécurité que les développeurs de WhatsApp ne peuvent plus corriger.Fonctionnalités: Les nouvelles fonctionnalités de WhatsApp nécessitent des ressources matérielles et logicielles que les anciens smartphones ne possèdent pas.Optimisation : Pour offrir une expérience utilisateur optimale, WhatsApp doit régulièrement mettre à jour son code, ce qui est impossible sur des appareils trop anciens.Quels smartphones sont concernés ?La liste des modèles de smartphones qui ne seront plus compatibles avec WhatsApp à partir de 2025 est longue et comprend des références de nombreuses marques, notamment :iPhone : iPhone 5 (annoncé initialement en septembre 2012), iPhone 5cSamsung : Galaxy S3, Galaxy Note II, Galaxy Ace 3, Galaxy S4 MiniHuawei : Ascend P6, Ascend Y300HTC : One X, One X+, Desire 500, Desire 601LG : Optimus G, Nexus 4, G2 Mini, L90Sony : Xperia Z, Xperia SP, Xperia T, Xperia VMotorola : Moto G (1ère génération), Droid Razr HD, Moto E (1ère génération)Nokia : Lumia 920, Lumia 1020ZTE : ZMAX, Grand XComment savoir si mon smartphone est concerné ?Pour vérifier si votre smartphone est concerné par cette mesure, vous pouvez consulter la liste complète des modèles incompatibles sur le site officiel de WhatsApp ou contacter le support de l’application.Que faire si mon smartphone est concerné ?

Si votre smartphone est parmi ceux qui ne seront plus compatibles avec WhatsApp, il vous faudra envisager de le remplacer par un modèle plus récent. Vous pouvez également explorer d’autres applications de messagerie instantanée qui sont compatibles avec votre appareil.Si certains appareils ne sont déjà plus compatibles, tous ceux figurant sur la liste seront définitivement bloqués à partir du 1er janvier 2025. La bonne nouvelle, c’est que de nombreux modèles récents sont compatibles avec WhatsApp. Il vous suffit de choisir un smartphone fonctionnant sous Android 5.0 ou une version plus récente, ou sous iOS 12 ou une version supérieure.

Au collège ENSET/B de Libreville, une affaire troublante soulève des interrogations sur le harcèlement scolaire et les abus de pouvoir en milieu éducatif. Mlle Kalla, mère d’une élève en classe de 3ᵉ, brise le silence pour défendre sa fille, victime présumée de maltraitance morale et de harcèlement sexuel par un professeur d’éducation physique et sportive (EPS). Cette mère lance un cri de détresse et appelle les autorités à agir pour restaurer la dignité des élèves concernées.Depuis son entrée en classe de 6ᵉ, la fille de Mlle Kalla s’est illustrée comme une élève modèle, respectée par ses enseignants et désignée chaque année chef de classe. Toutefois, cette réussite a été entachée dès l’année dernière, avec l’arrivée d’un professeur remplaçant en EPS M O. Ce dernier aurait commencé à attribuer injustement des zéros à l’élève, en dépit de sa présence en cours et de sa participation active aux évaluations. Ces pratiques se sont poursuivies en classe de 3ᵉ, où l’enseignant, de retour pour un remplacement, aurait accentué son comportement inapproprié.Face à ces injustices, Mlle Kalla a sollicité l’administration du collège, notamment le principal, pour obtenir des explications. Malgré ses démarches et ses demandes de rencontre avec l’enseignant, la situation n’a pas évolué. Le principal aurait assuré que le problème serait résolu, mais aucun changement n’a été constaté. Pire encore, le professeur aurait continué à agir de manière arbitraire, attribuant un zéro trimestriel à la jeune fille sans justification.Selon Mlle Kalla, sa fille n’est pas la seule victime de cet enseignant. Plusieurs parents auraient signalé des comportements similaires de la part de M. M O, dénonçant une attitude autoritaire, des propos déplacés et un manque total de pédagogie. Certains élèves, en particulier des jeunes filles, se disent harcelées, ce qui soulève des soupçons de harcèlement sexuel. Cependant, l’enseignant réfuterait systématiquement toute remise en question, affirmant qu’il est seul maître de sa manière de travailler.

Le harcèlement présumé a eu des répercussions dramatiques sur la santé mentale de la jeune fille. Le 28 novembre 2024, elle aurait fait une dépression, épuisée par les pressions constantes et l’injustice ressentie. Ce cas illustre à quel point les abus de pouvoir en milieu scolaire peuvent affecter le bien-être et l’équilibre psychologique des élèves, rendant l’intervention des autorités indispensable.Mlle Kalla exhorte les autorités de la transition à enquêter sur cette situation, qu’elle qualifie de « système bien connu et entretenu » par certains membres de l’administration du collège. Elle demande des mesures immédiates pour mettre fin aux agissements de M. M O et garantir un environnement scolaire sain et sécurisé pour sa fille et toutes les élèves du collège.Cette affaire souligne une problématique récurrente dans certains établissements scolaires : l’absence de mécanismes efficaces pour lutter contre le harcèlement et protéger les élèves. Les autorités compétentes doivent prendre leurs responsabilités pour instaurer des politiques strictes contre les abus de pouvoir, restaurer la confiance des parents et garantir le droit à une éducation digne et respectueuse pour tous les élèves.

La poire est un fruit délicieux et riche en bienfaits pour la santé. Voici quelques astuces pour en tirer le meilleur parti.1- La consommer fraîcheMangez-la avec la peau : La peau de la poire contient une grande quantité de fibres et d’antioxydants. Lavez-la soigneusement pour éliminer les éventuels pesticides.Privilégiez les variétés de saison : Elles sont souvent plus savoureuses et contiennent un maximum de nutriments.2- En jus ou smoothiesMélangez-la avec d’autres fruits comme des pommes, des bananes ou du gingembre pour des boissons nutritives.Vous pouvez aussi y ajouter des légumes (épinards ou carottes) pour un boost supplémentaire.3- En saladeAjoutez des morceaux de poire à vos salades pour une touche sucrée. Elle se marie bien avec des noix, du fromage bleu ou de la roquette.4- En dessertPoire pochée : Faites-la cuire dans un sirop léger parfumé à la vanille ou à la cannelle.Tarte ou crumble : La poire est idéale pour des pâtisseries gourmandes.5- Cuite pour faciliter la digestionLes poires cuites sont particulièrement recommandées si vous avez des difficultés à digérer les fruits crus. Essayez-les au four ou à la vapeur.6- Pour ses vertus santéPour l’hydratation : La poire est composée à 85 % d’eau, ce qui aide à maintenir une bonne hydratation.Riche en fibres : Elle favorise la digestion et aide à lutter contre la constipation.Antioxydants : Ses vitamines (C et K) et composés phénoliques aident à renforcer le système immunitaire.Faible en calories : C’est un fruit léger, parfait pour des encas sains.7- En infusion ou compoteSi vous avez des restes de poires trop mûres, utilisez-les pour faire une compote sans sucre ou une infusion parfumée.En intégrant la poire à votre alimentation de différentes façons, vous profiterez pleinement de ses bienfaits tout en variant les plaisirs.